C’est la douzième fois que je viens au club SPFA á Stépanavan, je peux donc me tarquer de le connaitre assez bien. Le club éloigné de tout centre francophone, profondément Francophile vit avec des fortunes diverses son amitie (je pourrais presque son amour)envers la France.
Les difficultés ne manquent pas: chomage important, jeunes toujours en mouvement (service militaire pour les garcons, marriage pour les filles) absence d’internet mais leur punacite arrive a vaincre tout.
Lucine, qui preside avec sagesse et competence le club á organise recemment une rencontre de clubs francophones,ici,les jeunes vont adore. Fini leurs isolement, d’autant plus que la parabole vient d’arriver. Comme un bienfait n’arrive jamais seul, on parle aussi de la venue d’internet. La ,alors ,un grand vent d’air frais va souffler. On fait tout ici pour se faire connaitre: le prêtre vient de bénir les locaux, la télévision locale vient de filmer lieux, jeunes et animateurs pour une publicité de bon aloi. Un vestiere se met en place , timidement peut- être mais, ne faut-il pas un commencement?
Une famille nécessiteuse vient d’être parrainée. On parle d’ouvrir modestement un cours de cuisine francaise. Quelques idées , ça et là , germent lentement. Je pense raisonnablement qu’on ne peut-être qu’optimistes. Vraiment le printemps tardif de Stépanavan va se réveiller ici , le souffle de survie et de résurrection, frappe à la porte. Des jeunes attendant , ils aimeraient entrer , á nous de répondre. Dejà , toutes mes félicitation aux 2 jeunes de village Amrakits et a la jeune fille Lia de Gulagarak, qui fréquantent le club avec assiduite.
A tout cela s’ajoutent des cours d’allemand qui montrent un interêt reél et un engagement à toute épreuve. Je reste ébahi bien souvent face à des jeunes aussi attentifs que volontaires. Ils sont guidés efficacement par un professeur qui ne néglige pas sa peine: Frau Manik.
Allons , les jeunes de Stépanavan
Les jours meilleurs arrivent, sachez en profiter.
Gaston Hanry